Hello les lapinoutes !
Aujourd’hui, je reviens avec un petit article spécial Rentrée Littéraire. J’avais été sélectionnée (I am too fast huhu ! ^^) il y a peu par le site Priceminister pour recevoir, lire, et « critiquer » un des ouvrages de leurs Matchs de la Rentrée Littéraire 2014.
J’avais donc eu à choisir un roman parmi une liste longue comme mes 2 bras :
- Le roi disait que j’étais diable – Clara Dupont-Monod
- Goat Mountain – David Vann
- Constellations – Adrien Bosc
- Trente-six chandelles – Marie-Sabine Roger
- Petits oiseaux – Yôko Ogawa
- Le cercle des femmes – Sophie Brocas
- Ces instants-là – Wassmo Herbjorg
- Zou ! – Anne-Véronique Herter
- Le Royaume – Emmanuel Carrère
- Un monde flamboyant – Hustvedt Siri
- Louise – Julie Gouazé
- Peine perdue – Olivier Adam
- Retour à Little Wing – Nickolas Butler
- Le Complexe D’Eden Bellwether – Benjamin Wood
- Sous les couvertures – Bertrand Guillot
Ne souhaitant pas « subjectiviser » (oh que c’est beau !) ma future critique, je n’avais pas souhaiter lire de résumé made in Web, et je me suis fiée à la courte description du livre proposée par PriceMinister. D’ailleurs, pour tout vous avouer, je me suis entre autre principalement basée sur le nombre de pages, car je voulais en avoir pour ma faim de lecture !
Et j’ai donc jeté mon dévolu sur Peine Perdue, d’Olivier Adam.
Résumé babelio.com :
Les touristes ont déserté les lieux, la ville est calme, les plages à l’abandon. Pourtant, en quelques jours, deux événements vont secouer cette station balnéaire de la Côte d’Azur: la sauvage agression d’Antoine, jeune homme instable et gloire locale du football amateur, qu’on a laissé pour mort devant l’hôpital, et une tempête inattendue qui ravage le littoral, provoquant une étrange série de noyades et de disparitions.Familles des victimes, personnel hospitalier, retraités en villégiature, barmaids, saisonniers, petits mafieux, ils sont vingt-deux personnages à se succéder dans une ronde étourdissante. Vingt-deux hommes et femmes aux prises avec leur propre histoire, emportés par les drames qui agitent la côte.
Avec Peine perdue, Olivier Adam signe un livre d’une densité romanesque inédite, aux allures de roman noir, et dresse le portrait d’une communauté désemparée, reflet d’un pays en crise.
© Flammarion, 2014
Ce que moi j’en pense :
Mais si au contraire, vous faites, comme moi, partie du lectorat « lambda », habitué à lire des livres « populaires », qui vous complaisez dans du Harlan Coben, du Barjavel, du Hervé Bazin, ou même du Marc Lévy, je ne suis pas certaine que vous accrocherez… 😉
Bonjour,
Je n’aime pas trop les livres romanesques à la base
Donc je ne pense pas que je le lirais.
Je suis plutôt romans historiques , fantazy, suspens etc..
Mais c’est une belle expérience que tu as eu.
Bonne journée
arf dommage,
moi je n’ai pas souhaité participé cette année, car l’an passé j’avais choisi un livre et pareil je n’avais pas aimé, je trouve leur sélection un brin spéciale, dommage